Lecture : La Métamorphose (Franz Kafka)
Résumé :
La Métamorphose révèle une vérité méconnue, les conventions disparaissent, les masques tombent. Ce récit est un des plus pathétiques et des plus violents que Kafka ait écrits ; les effets en sont soulignés à l’encre rouge, les péripéties ébranlent les nerfs du lecteur. C’est l’histoire, «excessivement répugnante», dit l’auteur, d’un homme qui se réveille changé en cancrelat. Cette transformation est un châtiment imaginaire que Kafka s’inflige. Et son personnage est celui qui ne peut plus aimer, ni être aimé : le conflit qui se déroule dans une famille bourgeoise prend une ampleur mythique. Seuls quelques éléments comiques ou grotesques permettent de libérer de l’oppression du cauchemar. L’interprétation éblouissante de Daniel Mesguich nous entraîne avec brio dans le vertige kafkaïen où le fantastique se heurte au quotidien.
Mon avis :
Franz Kafka nous offre cette nouvelle sans détour, sous forme de huis-clos.
L’histoire commence dans le vif du sujet, le lecture devra avancer dans le texte pour en savoir plus la véritable forme que le corps de Grégoire a pris.
Ne cherchez pas la source de la métamorphose, ce n’est pas le sujet de l’histoire !
Ici, on va étudier l’impact de la différence sur son entourage, plus ou moins proche.
Le temps va passer, l’attitude des gens et le regard qu’ils vont poser sur Grégoire vont évoluer et changer. Ce de tout cela que nous parle Franz Kafka grâce à son récit.
Ce qui m’intéresse dans ce texte, en tant qu’auteur, c’est la capacité de Franz Kafka à créer en quelques mots des images fortes dans l’esprit de son lecteur.